mercredi 18 août 2021

le pillage nazi

 

Remarques racistes ( LES NAZIS DISENT LES JUIFS SONT MENTEURS ET VOLEURS)

 

Des tableaux inconnus retrouvés dans le pillage nazi


Le Pillage NAZI (LES NAZIS SONT DES VOLEURS  DES ASSASSINS ET DES RACISTES) ILS NOUS L'ONT Malheureusement Prouvé

 


Les secrets de MElN KAMPF

Henri Lafont le parrain de la gestapo

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Les Brûlures de l'Histoire - Vichy et les juifs

mardi 17 août 2021

Miarka - Antoine de Meaux - Editions Phébus


Une héroïne peut en cacher une autre
Pourquoi Denise Vernay, soeur de Simone Veil et grande héroïne de la Résistance décédée en 2013 est-elle restée inconnue jusqu'à nos jours.
De Margaret Ayroles
Oui, un air de famille qui en rappelle une autre : le même visage volontaire, juvénile et harmonieux, le regard direct et acéré, les pommettes saillantes, la bouche mutine, joliment dessinée, prête à en découdre et les deux tresses épaisses que l’on devine sagement figées le temps du cliché.
l'une étant portée au pinacle, l'autre restant ignorée, dans l'ombre de l'oubli.
Denise Vernay née Denise Jacob le 21 juin 1924 à Paris, elle prendra le nom de « Vernay »par Son mariage avec Alain Vernay (journaliste)
Comment évoquer la personnalité lumineuse de cette femme magnifique quasi inconnue du grand public?
Engagée dans la Résistance en 1943, à 19 ans, elle en est une figure emblématique dont les motivations majeures étaient simplement : « patriotisme et civisme ». appelée « Miarka » ou «Annie » par les Résistants et amis. C'étaient les faux noms qu'elle avait choisis pour conserver son anonymat lorsqu' elle était entrée dans la Résistance.
. «Annie » était le nom sous lequel elle était connue comme agent de liaison au service des Mouvements Unis de Résistance représentés en Haute-Savoie par Georges Guidollet (« Ostier »).
Annie sur son passé valeureux.
Elle parlait peu de ce qu'elle avait vécu et a toujours exigé, de tous ceux qui l'entouraient, la plus grande discrétion. Car elle était d'une humilité et d'une réserve sans pareil.
La vie de Miarka reste inconnue. Très peu de personnes savaient qui elle était, tant elle est restée discrète sur la résistante qu'elle avait été.
La famille quitte Paris en 1924 pour s'installer à Nice. Le père était architecte et la mère avait abandonné ses études. fin juin 1940. Le 9 septembre, la Gestapo s'installe à Nice. Le nouveau « statut des Juifs » décrété par Vichy prive alors le père du droit d'exercer son métier.
Denise donne des leçons particulières de mathématiques pour aider la famille. A la rentrée scolaire de 1940, elle entre en première au lycée à Nice. En 1941, à 17 ans, Denise apportait au lycée des nouvelles diffusées par la radio anglaise : premier acte de résistance. c'était une jeune fille blonde rayonnante de beauté.
En juillet-août 1942 les rafles pour arrêter les étrangers juifs s'intensifient. Au début de septembre 1943 Denise participe à un camp de cheftaines au sein du mouvement scout des Eclaireuses.
1943, à 19 ans, Denise, qui a reçu chez les éclaireuses le nom totémique de « Miarka », est accueillie d'abord chez cette camarade à Saint-Marcellin en Isère et rencontre un ami qui lui propose de se rendre à Lyon en tant qu'agent de liaison de la Résistance. elle plonge dans la clandestinité et devient sous le nom de « Miarka » agent de liaison du mouvement Franc-tireur. A bicyclette, elle glisse du courrier clandestin dans les boites aux lettres.
février 1944, elle est depuis 7 mois à Lyon et on lui conseille, par prudence, de quitter cette ville : le 18 mars 1944, elle retourne à Nice où elle retrouve ses parents pour les 21 ans de sa sœur Madeleine. Ce fut sa dernière réunion de famille, car son père, sa mère, son frère et ses deux sœurs seront arrêtés, parce que juifs, dix jours plus tard et dirigés sur Drancy puis Auschwitz-Birkenau.
Miarka revient à Lyon et se met entièrement au service du mouvement « Franc-tireur ». À l'origine de ce mouvement, né à Lyon en 1941, se trouvent de petits cercles d'hommes venus d'horizons divers qui, peu à peu, se rejoignent pour former, dès novembre 1940, une équipe qui s'intitule d'abord « France-Liberté » Jean-Pierre Lévy arrivé à Lyon fin 1940 crée un journal clandestin autour duquel se greffe le mouvement de résistance qui va prendre le nom de « Franc-tireur
Miarka », dont le nom de guerre lyonnais devient « Annie », se porte volontaire pour cette mission au printemps 1944. La direction régionale des MUR avait besoin d'un agent de liaison à Annecy pour la Haute-Savoie .
En 1944, après le débarquement en Normandie, elle va récupérer en Saône-et-Loire deux postes émetteurs ainsi que de l'argent qui y ont été parachutés pour les acheminer vers le maquis du plateau des Glières. Son taxi est arrêté à un barrage par la milice qui la remet à la gestapo de Lyon où on lui fera subir la torture de la baignoire.
Denise est déportée au camp de Ravensbruck le 26 juillet 1944 car les Nazis ne savent pas qu'elle est juive sinon elle aurait été dirigée vers le camp d'extermination d'Auchwitz. Elle y sauvera la vie de déportées polonaises exténuées par les expériences médicales en subissant à leur place les interminables appels comme en témoigne Germaine Tillion dont elle fut l'amie et la secrétaire. Transférée à Mauthausen en mars 1945, elle sera libérée un mois après...
Denise Vernay a enregistré son témoignage à la Fondation pour la mémoire de la déportation .
Denise Vernay, elle est née Jacob le 21 juin 1924 et décédée le 4 mars 2013, à 88 ans ; elle est la soeur aînée de Simone Veil.
Alors ce 1er juillet 2018 où la France panthéonise Simone Veil, pourquoi omettre d'évoquer l'héroïsme de sa soeur, déportée pour faits de résistance ? pourquoi ce silence des frères Veil concernant leur tante ?

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